Elle appelle « Maman » son immense araignée en bronze qui trône sur le parvis du Musée Guggenheim de Bilbao. Après 30 ans de psychanalyse, elle déclare : « La vérité c’est que Freud ne fit rien pour les artistes, ou pour le problème des artistes, le tourment des artistes (…) Être artiste implique une forme de souffrance. Voilà pourquoi les artistes se répètent – parce qu’ils n’ont pas accès à un remède ».
Son visage est une agglutination de tensions, de lignes de forces, de courants d’énergie, fluide et perturbante. On devine un caractère intense, difficile, riche… intéressant.
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